par Michel Lebel
Les corrections de parcours donnent comme résultat qu'on fera 175 km au lieu de 130 prévus.
Pour une raison obscure, les parcours en Bulgarie empruntaient les routes nationales. Ce n'est pas du cyclotourisme ça.
L'affichage routier est en 2 langues, soit le cyrillique (illisible) et le latin (lisible).
Par contre la communication c'est pas simple. Dans un petit commerce, on a voulu commander un coca mais constatant qu'il était chaud j'ai demandé de la glace et évidemment alors un verre. Comme le marchand de glace était là ils ont ouvert un sac et pour le verre ca a été compliqué mais c'est arrivé.
Pour ça il faut utiliser Google traduction.
Mon analyse est qu'on ne parle pas anglais en campagne mais qu'ils se fendent en quatre (mais non, les Francais, c'est une expression québécoise pour dire qu'ils aident) pour te rendre service.
Mais ils fument, c'est épouvantable, c'est permis dans les restaurants, partout. Encore plus qu'en Roumanie, 40% de fumeurs!
Bon, jour de vélo aujourd'hui.
8 bonnes côtes, mais pas de col. Les 100 premiers km le matin je les avale assez vite, je me sens d'attaque. Les paysages de campagne, ils sont fort jolis. Voici.
Puis une dernière vue du Danube.
Nous nous enfoncons vers le sud puis les 75 derniers km je les fait en trombe. Juliette, Paul et Louise ont plutôt roulé ensemble et comme j'arrête tout le temps pour prendre des photos, j'arrive toujours après. Mais ce qui est bien c'est que j'étais top shape, prêt à affronter Diane dans les montagnes de la Gaspésie!
Dernière chose, les traverses c'est sacré ici, il faut s'arrêter et laisser passer.
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