par Michel Lebel
Imaginez-vous donc qu'on part au sec ce matin. Ça tombe bien car nous feront 50 km en longeant le lac Balaton, immense lac de Hongrie bien tranquille, où on y voit toutes sorte d'animaux paisibles, dans de jolis décors.
Eh bien 50 km (des 105 km prévus) de bonheur sur une jolie piste cyclable, l'été il doit y avoir pas mal de monde.
Et surprenamment des infrastructures vélo en bordure de route comme on en voit en France et en Espagne.
Puis le sempiternel arrêt lunch.
Carolanne sera fière de son papa.
Puis nous arrivons à Nagykanizsa et c'est l'attente pour les valises.
Quand il n'y a d'impair en chemin, requérant des traducteurs. je peux arriver (avec Paul McKenzie) dans les premiers groupes.
Petite ville sans grand intérêt sauf qu'elle a un magasin de vélo pour tous ceux qui ont un pépin à régler. Dans mon cas ce fut le bureau de poste pour expédier la clé de l'hôtel précédent. Aucun préposé ne parlant francais, google français/hongrois a permis de procéder. Et devant l'immense problème de communication, l'employée ne m'a rien chargé. «No dinero » qu'elle m'a dit, en espagnol!
Le sujet de discussion au souper : la météo du lendemain qui prévoit des gouttes toute la journée pour les 140 km prévus.
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