par Michel Lebel
Autre jour de visite, Amsterdam, capitale de la Hollande.
Nous prenons le bus à partir de l'hôtel pour le centre-ville et arrivons au Ritzmuseum, le plus grande musée du pays... que nous ne visiterons pas. Apparemment des Rambrandt et Van Gogh.
Nous allons plutôt faire un tour de bateau-mouche. Un peu déçu car on voit pas bien du fond d'un canal.
À voir, quand on va à Amsterdam, la maison d'Anne Frank, histoire à la fois heureuse et macabre d'une jeune fille juive ayant écrit un livre de ses impressions de la 2e guerre mondiale, terrée dans un logement, qui a été ensuite dénoncée et envoyée à Auschwitz pour y être gazée. Son récit a fait le tour du monde.
Puis visite à pied des aires piétonnes et des canaux.
Des noms de rue imprononçables et tout finit pas straate.
Le vélo à Amsterdam c'est un moyen de transport. Il y'en a partout.
Et tous sont conduits sur guidons hauts.
Puis le clou de la visite, on ne peut pas passer à côté du red light, l'endroit le plus connu au monde pour ses vitrines.
On y va en vélo qu'on loue, un vélo typico avec frein en rétro-pédalage.
Et il pleut, ça ne doit pas être si pire, tous sont en vélo ici. Eh bien non, l'enfer. Il faut éviter les autres vélos, les voies glissantes de tramway et les tramways eux-mêmes, les autos, les motos... Avec le rétropédalage ça freine mais c'est difficile de mettre le pied à terre. Moi j'ai failli prendre une débarque (une chute, pour nos amis Français) et Louise de tomber dans le canal.
Puis séance de séchage dans un restaurant et retour à l'hôtel.
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